Une séance d’ostéopathie effectuée pour une tortue, un cygne, une oie ou un lapin se base sur les mêmes principes qu’une séance d’ostéopathie conférée à un cheval ou à un chien, bien que les façons de procéder et les manipulations peuvent différer selon l’animal. L’adaptation est le maître mot.

L’application des approches et techniques ostéopathiques se base (entre autres) sur l’anatomie et la physiologie de l’individu que l’on a sous les mains : il faut ainsi connaître ces notions et adapter les manipulations judicieusement. Mais tout est faisable, sur (presque ?) n’importe quel animal ! 

Ainsi, les approches ostéopathiques sont les mêmes que pour les autres animaux – et ils peuvent avoir des blocages similaires aux animaux “domestiques” – puisque l’on peut travailler au niveau de la sphère crânienne, la colonne vertébrale, les membres thoraciques et pelviens, les organes (viscères), l’ensemble du système musculo-squelettique (os, articulations, muscles), les fascias (tissus conjonctifs) ou encore le système nerveux (encéphale, moelle épinière)…